Il est défavorable même s’il s’agit d’un vrai et beau sujet que d’accorder immédiatement le droit au travail pour les demandeurs d’asile.
Nous sommes tombés d’accord pour permettre aux demandeurs d’avoir accès au marché du travail et au droit à la formation au bout de neuf mois, ce qui est plus favorable que ce qui est prévu par la directive, monsieur Robiliard, et ce qui est une avancée par rapport au droit existant.
La dignité passe effectivement aussi par l’activité, et j’ai beaucoup de respect pour ces amendements, même si j’y suis défavorable. Je vous suggère donc de les retirer compte tenu de l’avancée qu’il y a eue grâce à nous tous.