Je sais en quelle année nous sommes, monsieur Geoffroy.
Deuxièmement, je vous signale que si nous débattons aujourd’hui de ce projet de loi, c’est parce que nous, nous avons bien pris conscience que les longs délais qu’impliquent les procédures du droit d’asile font que les personnes sont désormais traitées de façon indigne.