Pas du tout. Simplement, dans certaines de mes responsabilités, j’ai eu à constater et à réparer les conséquences de votre politique sur le terrain. Quand je pense à ces jeunes Afghans qui se sont pendus dans un jardin public de Paris parce que leur désespoir était total, quand je pense à ces jeunes Tunisiens qui sont arrivés en masse dans la capitale alors que vous mettiez en place tout un système pour empêcher leur accueil et leur retour dans les meilleures conditions, je me dis que je n’ai vraiment pas de leçons à recevoir de votre part.