Sur le principe, je suis assez d’accord, pour ma part, avec ce que dit Mme Buffet. De quoi s’agit-il en fait, avec cette régulation ? Il s’agit de promouvoir quatre principes qui n’étaient pas toujours assez mis en avant : la solidarité, car il faut aller plus loin en cette matière ; la mutualisation, comme notre collègue Rogemont l’a dit tout à l’heure ; le contrôle ; la transparence. À partir du moment où ces quatre points peuvent fonctionner ensemble, la question de savoir si on a une vision bicéphale de l’ensemble des coopératives est totalement différente.
Dans un premier temps, peut-être ne va-t-on pas assez vite, mais c’est quand même maintenant que ces deux coopératives commencent à travailler ensemble. C’est ça qui est assez drôle : on a perdu quatre années au cours desquelles il ne se passait rien, et on n’en parlait pas trop, et, maintenant, elles commencent à travailler ensemble. J’ai tendance à dire : « Chiche ! » Et voyons si on va pouvoir les entraîner à aller plus loin.
Voilà pourquoi, à mon grand regret, j’émets, à la suite de cet examen en commission, un avis défavorable.