En me réjouissant que le souffle de la commission spéciale vienne jusque dans l’hémicycle, je voudrais dire à notre collègue Pancher que l’ouverture de nouveaux services ne peut pas attendre des siècles et des siècles. Dès la promulgation de la loi, les services se mettront en place. Si l’ensemble de l’offre n’est pas lisible pour les usagers, il est clair que le bilan ne sera pas bon.
Il faut bien utiliser des moyens modernes pour donner accès à ces informations, quelles que soient les échéances ultérieures d’une nécessaire concertation, qu’il faudra approfondir avec ceux qui se préoccupent de ces questions, comme M. Pancher.
Les services n’attendent pas une information ultérieure pour bénéficier aux usagers. C’est pourquoi nous avons raison non seulement de poser la question, mais aussi de trouver une réponse.