Je veux revenir aux amendements. Si je n’ai pas la compétence de plusieurs de mes collègues sur ces professions, je suis très surpris de la vision très obsidionale de celles-ci. En France, nos professionnels du droit seraient attaqués, soumis, incapables de s’organiser entre eux, moins compétents que les autres pour rendre le service qui leur est demandé. C’est une image défaitiste qui, in fine, ne donne pas l’impression de dynamisme que nous voulons insuffler par cette réforme.