Il s’agit d’une décision d’une autorité étrangère. Cela ne veut pas dire que nous restons les bras ballants, et je ne vous permets pas de dire cela, car ce ne fut pas le sens de ma réponse. Mon collègue Alain Vidalies, qui gère ce dossier, a réuni quelques jours plus tard l’ensemble des parties prenantes pour le régler.