Je vous invite à lire le rapport de l'IGAS de 2009 qui ne préconise pas une prise en charge à 100 % mais qui recommande une amélioration de l'information et de la communication, notamment en direction des publics précaires. L'IGAS s'inquiète de cette situation très française où l'on préfère pratiquer des avortements plutôt que d'investir véritablement… (Vives exclamations sur les bancs du groupe SRC.)