Notre commission n'a pu examiner cet amendement. Je pense cependant pouvoir traduire ce qu'aurait été son point de vue, c'est-à-dire un avis favorable à ce qui apparaît tout à fait nécessaire, à savoir la garantie de la confidentialité lorsque des jeunes filles ont recours à la contraception. Cette confidentialité se pratique déjà pour la contraception d'urgence, Mme la présidente me le confirme. Il est important qu'elle puisse s'appliquer dans tous les cas. L'avancée que constitue la gratuité pour les mineures doit, elle aussi, être mise en oeuvre dans les conditions les plus favorables.