Il n’y a aucune insulte dans ce que je dis. Je n’ai pas l’honneur, cher collègue et camarade Peiro, d’être président de conseil général : je ne suis que vice-président aux finances. La réalité des choses, c’est que les conseils départementaux sont de toute manière voués à disparaître.
Que cette disparition ait été repoussée dans le temps pour des raisons d’équilibre territorial, de mise en place des métropoles ou de renforcement des régions, tout cela est juste. On peut prendre le temps, mais la réalité des faits c’est qu’entre la mise en place des métropoles, le renforcement des intercommunalités et les régions renforcées, les conseils généraux finiront par disparaître.