Mesdames, messieurs les députés, vous avez aujourd’hui la responsabilité immense d’examiner un texte important, un texte de respect pour les patients, un texte d’humanité, qui constitue un point d’équilibre. Il s’agit d’offrir aux Français le droit et les moyens de mourir dignement, aussi dignement qu’ils auront vécu. Je sais que nous parviendrons à nous retrouver pour répondre à cet enjeu et à cette attente.