Je regrette également que l’amendement précédent n’ait pas été adopté, car il me semblait important.
Quant à cet amendement no 228 , étant donné que le coût de l’acharnement thérapeutique peut, nous le savons tous, devenir gigantesque, il devrait permettre, en mentionnant le bénéfice escompté, d’éviter des abus, comme vient de le souligner M. Breton.