Ceux qui siégeaient lors de la précédente législature se rappelleront que cette disposition est issue d’un amendement défendu par l’opposition et accepté par la ministre d’alors, Michèle Alliot-Marie. Nous suivons toujours le même fil directeur, celui de la prévention en prison.
Vous proposez que le bilan de santé soit réalisé au début de l’incarcération. Dans un premier temps, la commission avait émis un avis défavorable, mais à titre personnel, j’y suis favorable.