Monsieur Lellouche, je vous arrête tout de suite. Personne, et en tout cas pas la présidence, n’a l’intention d’« expédier » ce texte. Ici, nous n’« expédions » pas. Nous donnons la parole au fur et à mesure de la discussion. Lorsque le Gouvernement ne répond pas, il assume sa responsabilité. La présidence n’a pas à exiger une réponse, ce qui ne signifie aucunement qu’elle « expédie ». Je vous rends la parole avec plaisir.