Il est en effet nécessaire et souhaitable que cet échange ait lieu, d’autant que nous n’avons pu débattre en fin de séance tout à l’heure et obtenir des réponses avant de passer à l’examen des amendements.
Nous sommes devant une affaire de la plus haute importance. Il est rare que le New York Times consacre son éditorial à la France, et la dernière fois, c’était sur ce texte ! Ce seul fait, sans juger du contenu de l’article, appelle une discussion approfondie au sein de notre hémicycle. Comme d’autres l’ont dit avant moi, nous sommes strictement dans notre rôle de parlementaires. Nous ne cherchons pas à soulever les peurs et les comportements irrationnels, comme a pu le faire M. Larrivé, avec son esprit habituel de croisade, ou comme M. Ciotti s’y emploie de façon permanente.