Monsieur le ministre, si nous souhaitons que les alinéas 14 à 16 soient supprimés, c’est parce qu’ils contiennent les dispositions que nous refusons dans ce projet de loi. Tout le reste nous convient, avec quelques aménagements – la commission a d’ailleurs amélioré grandement ce texte.
Pourquoi considérez-vous donc, monsieur le ministre, que je fais preuve d’arrogance ? Ce n’est pas de l’arrogance, mais de l’inquiétude, et la volonté farouche de lutter avec vous, par tous les moyens, afin de déjouer les attentats en préparation. Je ne remets nullement en cause les services de renseignement.