Je n’ai qu’une question à poser, qui traduit mon inquiétude, partagée par un certain nombre de parlementaires ici présents ce soir.
Que pourraient devenir les dispositions figurant aux articles 14 à 16, concernant les boîtes noires, dans les mains d’un gouvernement qui ne serait pas aussi républicain, aussi soucieux des libertés publiques et de la protection des données personnelles que celui qui est aux responsabilités en France aujourd’hui ?