Pour remettre les mains dans le cambouis et revenir à la technique, puisqu’il s’agit bien de mettre des techniques à la disposition des services de renseignement, j’aimerais que l’on m’explique bien plus précisément ce que l’on entend par algorithme et utilisation du DPI. On dit qu’on ne l’utilise pas, mais c’est faux, car j’ai des exemples d’une telle utilisation à l’étranger.
Ces précisions me paraissent nécessaires dans la mesure où nous touchons à un sujet très sensible ; Lionel Tardy, Laure de La Raudière et mon collègue Sergio Coronado et moi-même l’avons pointé ces derniers jours. J’estime ne pas avoir encore obtenu de réponse sur ce point.