…ou encore aux nouvelles obligations issues de la loi sur l’économie sociale et solidaire et de la loi « Florange » en cas de cession d’une entreprise.
Vous êtes déjà revenus sur l’instauration d’une durée hebdomadaire minimale de vingt-quatre heures pour tout temps partiel, réalisant qu’il s’agissait d’une bêtise. Sur le dispositif de cession, vous êtes également en train de revoir vos ambitions à la baisse – heureusement pour les entreprises !
Pour le compte pénibilité, nous ne lâcherons rien car, là aussi, c’est une erreur. Nous en reparlerons sans doute lors du projet de loi relatif au dialogue social dès la semaine prochaine. De telles mesures pro-entreprises ne sont malheureusement pas à l’ordre du jour ; nous savourons donc d’autant plus l’existence de cette proposition de loi. Mais, sans vouloir être pessimiste, il en faudrait bien plus pour restaurer la confiance des chefs d’entreprise, pour restaurer la croissance et, au final, pour restaurer l’emploi.
Comme ce soir, vous aurez notre appui à chaque fois que vous vous engagerez réellement et concrètement dans cette voie, sans donner dans le fourre-tout ou dans les effets de manche. Pour encore deux ans, la balle est dans votre camp !