Je voudrais rendre hommage à mon collègue Jean-Pierre Decool. Je reconnais que nous avons dû attendre que les choses se mettent en oeuvre puisque Guillaume Garot travaillait sur le sujet et que nous le savions capable de rassembler tout le monde lorsque l’échéance arriverait, ce qu’il a très bien fait.
Certaines blessures n’ont pas pu être évitées car le fonctionnement de notre Assemblée obéit à des considérations d’ordre politique – le choix du vecteur, le choix du moment. Je comprends les sentiments de M. Decool et j’assume une partie du fardeau, mais l’important est de nous retrouver tous ensemble pour cette excellente cause, dans un moment de grande unanimité.