Deuxièmement, monsieur le ministre, vous nous dites que vous êtes parvenu à un point d’équilibre après l’échec des négociations. En fait, vous avez trouvé le plus petit dénominateur commun pour ne fâcher personne. Ce n’est le rôle ni du ministre, ni du Parlement ! Notre rôle est de traduire votre volonté, qui était effectivement progressiste, en une action de progrès. En réalité, vous exprimez une volonté de progrès, mais vous restez des conservateurs dans les actes.