Au fil des remboursements, alors que le taux de change euro-dollar risque de diverger de sa valeur initiale, l'encours restant diminue puisque le risque sur le produit ne porte que sur la valeur d'occasion résiduelle. Le risque est d'ailleurs limité individuellement, par examen en commission interministérielle des garanties et crédits au commerce extérieur, et généralement, au niveau de la politique d'assurance-crédit décidée annuellement par le ministre en charge de l'économie. Cela me semble de nature à vous rassurer. Je vous communiquerai un certain nombre d'exemples qui confirmeront la teneur de mes propos.