Je voudrais très simplement dire au Gouvernement et au rapporteur que nous ne mettons pas du tout en doute leur volonté profonde et sincère d’apporter une réponse à nos concitoyens, bouleversés par des faits qui ne doivent pas se reproduire.
Mais ce que vous avez dit à propos de l’amendement no 42 du Gouvernement, et ce que vous dites à présent que nous examinons ces amendements de Pierre Lellouche, est bien paradoxal.