Je partage l'analyse de notre collègue Marc Dolez.
Hors circonstances particulières, le port des menottes paraît vraiment tout à fait inutile. Nous sommes dans un commissariat de police, une personne seule est concernée dans un environnement adapté. Je ne vois pas quel est le risque de la voir s'enfuir si elle n'a pas de menottes.
Cette mesure est inutile – et, en tout cas, vexatoire – s'appliquant à une personne qui n'est soupçonnée d'aucun autre délit que celui de ne pas avoir de véritable droit au séjour.
(L'amendement n° 25 n'est pas adopté.)