Donnez aux élus, donnez aux intercommunalités et aux communes suffisamment de souplesse pour que le mouvement d’intercommunalité se poursuive.
Cette souplesse est d’autant plus souhaitée que votre gouvernement souffre depuis plusieurs mois d’une véritable boulimie réformatrice institutionnelle, qui impacte lourdement les territoires ruraux : métropoles, grandes régions, redécoupage cantonal, réorganisation de l’administration de l’État – avec fermeture des perceptions, de gendarmeries à l’heure actuelle, et d’autres services locaux.
Le malaise des territoires ruraux est aujourd’hui à son paroxysme.