Face à tous ces flux financiers, nous n’avons pas le début de l’ombre d’une indication. Et nous courons le risque gravissime de paralyser la région, parce que nous ne pourrons pas voter nos budgets.
Madame la ministre, très modestement, au fur et à mesure du débat, je vous poserai des questions précises auxquelles j’espère que vous pourrez répondre. Je ne doute pas de votre bonne foi, mais c’est un sujet que nous ne pouvons pas aborder à la légère ce soir, même s’il est technique.