Monsieur le président, je confirme ce que vous dîtes : cela a été le cas, notamment, au ministère de l’intérieur. La RGPP n’a donc produit que très peu d’économies budgétaires. À l’éducation nationale, par exemple, elle a provoqué une flambée d’heures supplémentaires, dont chacun reconnaît ici que le coût – particulièrement d’ailleurs à un moment où elles étaient défiscalisées – était plus élevé que celui des heures dispensées dans le cadre du service normal d’un professeur certifié ou agrégé.