Je ne poserai pas de question sur la Grèce, car je crois que nous devons désormais attendre de connaître les résultats du référendum.
Sur le volet migratoire, les conclusions du Conseil européen font état de la nécessité de renforcer la coopération avec les pays d'origine et de transit. C'est une vérité d'évidence. Les mouvements migratoires ne sont si massifs que parce que les conditions d'existence sur le continent africain sont souvent indignes et insupportables. Comment les autorités françaises, qui abaissent pourtant constamment leur aide publique au développement depuis trois ans, peuvent-elles en même temps se joindre à de telles conclusions ?