Je suis convaincu que, dans les années qui viennent, nous constaterons à nouveau cette tendance. Lorsque l’on indique une séquence de chiffres, il faut fournir la séquence complète, et ne pas laisser croire, à travers des chiffres partiels, à l’existence de phénomènes qui, en réalité, n’existent pas.