Je veux proposer du travail à ces hommes et à ces femmes si ils viennent au pays. Je ne veux pas qu’ils prennent le RMI ou le RSA des Français mais qu’ils travaillent car personne d’autre ne peux sauver nos campagnes. Je suis donc candidat à l’accueil chez moi de ces hommes qui perdent la vie de manière sauvage – or nous ne sommes pas des sauvages. Mais il faut qu’ils ne soient accueillis que chez moi, car je ne veux pas embêter le reste de la France. En effet, nos montagnes se vident de leurs habitants.
Et je suis heureux de voir des petits-enfants qui doivent leur existence à des petits Spanghero, des petits Hidalgo et des petits Mustapha arrivés naguère au pays. Voilà ma position, et, comme dirait l’autre, je la partage.