J’ai entendu les interrogations, tant celles qui se sont exprimées au Sénat qu’ici dans l’hémicycle. Nous partageons le même point de vue : protéger les personnes vulnérables ; ne pas porter atteinte à des personnes qui peuvent être en situation de handicap, de vulnérabilité mais dont la faculté de prendre des décisions n’est pas altérée ; ne pas porter atteinte aux libertés individuelles et permettre aux associations, dans le cadre de la loi de 2014, de recevoir des dons.
À ce stade, je propose que l’amendement soit rejeté et que l’on reprenne posément le débat au Sénat : il ne faudrait pas ce soir bricoler à la hâte. J’ai l’habitude lorsque je travaille avec des sénateurs d’associer des députés aux discussions, et inversement.
Si vous ne retirez pas votre amendement, j’émettrai un avis défavorable.