En 2012, on était à 19 % en taux forfaitaire. Nous sommes parvenus à une certaine stabilité, alors, de grâce, mes chers collègues, tâchons de la conserver. En tant que président de la commission des finances, je vous incite à ne pas faire preuve de frénésie fiscale en remettant constamment les choses en cause. Notre problème, aujourd’hui, et la rapporteure générale l’a elle-même rappelé à cette tribune, c’est de relancer l’investissement. Or, pour le relancer, il faut de la confiance. Et pour avoir de la confiance, il faut de la stabilité fiscale.