Doit-on continuer à accepter que les logements aux prix les plus élevés soient parfois achetés et revendus sans payer aucune taxe sur les plus-values ? C’est la question que pose cet amendement. À un moment, il faut peut-être que nous nous intéressions à la vente des gros patrimoines de notre pays, qui sont aujourd’hui parfois acquis et revendus sans aucune contribution à la solidarité nationale, c’est-à-dire sans payer aucun impôt.