Le bien n’exclut pas le mieux, mais j’avais donné des indications très précises à mes équipes pour éviter ces querelles qui viennent empoisonner nos débats. Nous sommes ici au moins trois à avoir connu cette situation où le Gouvernement vous balance, si j’ose dire, des amendements complexes et tardifs. Il faut reconnaître qu’il y en a eu exceptionnellement peu cette fois.
Monsieur Faure, j’ai bien noté que votre proposition était assez proche de la nôtre, mais elle présente quelques petits défauts. Par exemple, elle oublie le plafonnement de la taxe sur les autocars. Vos deux amendements et celui du Gouvernement aboutissent au même résultat. Il vaudrait donc mieux que vous vous ralliez au nôtre, sachant que vous aviez utilement éclairé la commission avant nous.