Monsieur le secrétaire d’État, vous aviez célébré l’année dernière le quarantième anniversaire de cet établissement en accordant une stabilisation, alors que votre proposition initiale était une baisse. C’était un geste !
Ce modeste conservatoire fait du très bon travail : tout le monde le reconnaît, sur tous les bancs de l’Assemblée. Le Gouvernement lui a donné pour objectif d’augmenter ses acquisitions. Que va donc faire le Conservatoire ? Il va taper les collectivités locales ! On sollicite les départements, les régions, les intercommunalités… C’est comme cela qu’on a réussi à acquérir un peu plus que ce qui aurait dû être possible. Je retiens donc votre proposition, monsieur le secrétaire d’État : allez, un million et n’en parlons plus !