Monsieur le secrétaire d’État, je souhaiterais avoir des éléments plus précis. En effet, le Centre national du cinéma bénéficie du produit d’une taxe sur les éditeurs et distributeurs de services. Elle s’élèverait à 201 millions en 2016. Je voudrais savoir si cette taxe ne sera pas plus dynamique que prévu. Auquel cas, il faudrait que ce bonus puisse être récupéré par le budget de l’État. J’en profite pour dire que je suis le premier à apprécier l’excellent travail du Centre national du cinéma, qui joue un rôle très important. Étant député de la circonscription où est implanté l’Institut national de l’audiovisuel et où l’a été la Société française de production, je peux témoigner à quel point l’industrie cinématographique est créatrice d’emplois et de valeur ajoutée.