Le Parlement, disais-je, a joué tout son rôle : nous pouvons tous être satisfaits du travail accompli, étant entendu que la vigilance reste de mise, dans l’intérêt de ce qui nous mobilise : faire mieux pour le développement, autrement dit pour l’aide aux pays pauvres, conformément à l’objectif de la loi que nous avions votée ; par là même, nous renforcerons le rôle historique de la France et lui permettrons, peut-être, de se montrer à la hauteur de ses ambitions.