Nous pouvons donc, disais-je, regarder de près cette question, afin de veiller à sécuriser les crédits sociaux. Quoi qu’il en soit, le maintien de l’aide aux conjoints survivants comptant parmi les ressortissants de l’ONAC les plus démunis est une réalité, de même que l’harmonisation de l’aide apportée aux anciens combattants qui rencontrent le plus de difficultés. Je suis prêt, à la fin de l’année, à dresser un bilan avec vous. J’y reviendrai tout à l’heure, car je sais que d’autres questions porteront sur ce sujet.
Vous avez également évoqué un point que j’avais abordé dans mon intervention liminaire : l’institution nationale des Invalides. Le matin même de ma prise de fonctions, j’ai reçu les syndicats de cette institution. J’en ai fait une priorité dès le départ et j’ai écouté les demandes qui m’étaient faites.
Nous avons engagé, avec le conseil d’administration de l’institution nationale des Invalides, une réflexion, désormais bien avancée, sur un projet d’établissement, qui va être concrétisé. Nous mettons en harmonie et en résonance l’institution nationale des Invalides avec les services de santé des armées. J’ai reçu à plusieurs reprises le directeur de l’INI, les syndicats et les ressortissants. Je pense que nous allons réussir à mettre en sécurité l’INI.