Les cosignataires de cet amendement estiment que l’enfant doit bénéficier d’une information sur l’étendue de ses droits et être représenté en justice. À tout moment une écoute et une explication sont nécessaires.
À cette fin, l’amendement tend à rédiger la fin de l’alinéa 2 en ces termes : « et l’effectivité de ses droits par une information puis une assistance juridique », assistance qui doit aussi être publique.
Trop souvent, le regard est focalisé sur la famille et non sur l’enfant.