Mais les individus concernés suscitent des doutes sérieux – et de fait, certains ont agi de manière souterraine pour commettre des attentats.
La mesure présentée par Éric Ciotti me paraît donc aller dans le bon sens. Si demain un attentat est de nouveau commis par une personne qui fait l’objet d’une fiche S, pour suspicion d’intégrisme islamique, et que nous refusons cet amendement, nous porterons, chers collègues, une sacrée responsabilité à l’égard des Français !