La condition de détention de 20 % pour les fonds d’investissement de proximité – FIP – et de 40 % pour les FCPI, les FCPR et les fonds professionnels de capital investissement – FPCI – de titres reçus en contrepartie d’une souscription au capital des sociétés exerçant leur activité ou juridiquement constituées depuis moins de cinq ans a pour objet d’inciter, j’allais même dire contraindre, à financer des entreprises jeunes, puisque ce sont elles qui, souvent, ont les besoins les plus importants – ou rencontrent le plus de difficultés – en la matière. Ces dispositions ne me paraissent ni rédhibitoires, ni très contraignantes.