Un mot, simplement.
J’admets tout à fait que la réaction du Gouvernement a été extrêmement prompte dans les Alpes-Maritimes et que les indemnisations l’ont été tout autant.
Le problème, néanmoins, ne se pose pas tant en matière d’indemnisation que de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle.
Je maintiens que le délai de reconnaissance peut être parfois très long, que la procédure n’est parfois pas entièrement transparente et qu’elle est parfois contestée.
Dans ces cas-là, les communes et les particuliers doivent avancer les fonds, de façon parfois importante, les délais restant très longs.