Pour contourner cette difficulté, Mme Boyer propose d’introduire un nouveau cas de reconnaissance. Une décision définitive d’une juridiction de l’État sur le territoire duquel ces crimes ont été commis pourrait suffire à les faire reconnaître en France comme crime de génocide ou crime contre l’humanité. C’est un critère totalement nouveau, qui doit être expertisé et évalué précisément et de manière argumentée.