Elles sont d’ailleurs allées dans le sens du vote intervenu en première lecture. Avec cet article, nous ne parlons au fond que de la taxe sur les transactions financières telle qu’elle existe aujourd’hui. Nous voulons en améliorer la base, avec ce que l’on appelle – mon cabinet m’a écrit une note en anglais, me voilà bien ! (Sourires) – l’infrajournalier.