La voix qui a abouti à un vote défavorable en commission des finances hier après-midi, c’était la mienne. De par ma fonction de président de cette commission, je veille à voter le moins souvent possible car j’estime que la présidence doit être impartiale, mais le sujet m’est apparu extrêmement important. Monsieur le ministre, j’ai beaucoup apprécié votre intervention à l’instant. Néanmoins, par rapport à l’accord du 8 décembre et aux propos que vous avez tenus en première lecture, il ne s’agit pas d’un bémol, plutôt d’un dièse.