Ce changement, je l’ai dit tout à l’heure, je ne le sens vraiment pas. J’ai encore réfléchi à ce que j’ai déclaré tout à l’heure, monsieur le ministre. Je sais que vous connaissez l’état de notre pays, les fragilités que l’on a constatées dans le Nord, en Lorraine, en PACA, mais aussi dans bien d’autres endroits de France qui, pour l’instant, ne disent rien, et je suis intimement convaincu qu’il ne faut pas donner le sentiment que nous rétrécissons la possibilité pour le peuple français de choisir.