On vous a obligé à placer ce texte sur le devant de la scène et je ne comprends pas que vous ayez accepté de le faire ! Ce texte n’est pas de votre niveau ! On ne peut pas réduire le pays des droits de l’homme, celui du premier peuple à s’être déclaré souverain, à ce texte de loi qui n’est pas à la hauteur de la situation. Je vous demande donc, monsieur le ministre, de dire à M. le Premier ministre et à M. le Président de la République que ce n’est surtout pas la réponse à apporter aux Français ! J’en ai fini, madame la présidente, mais je reviendrai dans un instant.