Madame la présidente, monsieur le ministre, mesdames et messieurs, la nature ayant horreur du vide, après avoir vécu une période dont j’espère qu’elle restera pacifique, même si hélas ! rien ne l’indique aujourd’hui, nous allons connaître une période dans laquelle les défunts partis n’exerceront plus la moindre influence. Les hauts fonctionnaires et les banquiers finiront donc d’accaparer le peu de pouvoir qui nous reste encore ! Nous avons déjà vécu cela par le passé et savons tous comment cela se passera. Je raconterai la suite de l’histoire un peu plus tard, madame la présidente.