J’attends aujourd’hui de chacun d’entre vous, au nom de la commission spéciale, d’aller au bout de votre engagement, pour la France, pour ce que l’Europe et le monde attendent de nous dans ce débat, pour, surtout, qu’il n’y ait plus toutes ces victimes d’horreurs innommables qui ont, comme seul nom, celui de « prostitution ».
Votons ce texte : il est attendu, il est indispensable. Il fera l’honneur, la fierté de notre Parlement et de notre pays tout entier !