Intervention de Paul Molac

Séance en hémicycle du 21 mars 2016 à 21h30
Création architecture et patrimoine — Article 11 a

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPaul Molac :

En effet ! Ce festival propose tout d’abord des spectacles de professionnels tels que Sinéad O’Connor ou Alan Stivell. Le cadre est classique : les artistes sont payés et, souvent, ce sont ces spectacles-là qui permettent de recueillir de l’argent pour d’autres spectacles, amateurs ceux-là. Lorient accueille par exemple la deuxième manche du championnat national des bagadoù 1ère, 2e, 4e et 5e catégories, soit un total de quarante-cinq groupes donnant chacun une prestation. Si l’on comptabilise les prestations pour l’organisateur, le nombre sera forcément important, d’autant qu’il n’y a pas que les bagadoù : il y a aussi les gaitas, qui viennent de Galice, le vainqueur du concours de chant gallo, celui du concours de chant breton. Tous sont évidemment des amateurs. Et plusieurs spectacles mêlent professionnels et amateurs, sachant que ce sont parfois les artistes qui sont amateurs et les éclairagistes ou autres qui, eux, sont professionnels.

Bref, raisonne-t-on par groupes, par structures ?… Tout cela est complexe et mérite examen !

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